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Le positionnement foetal optimal et l’ostéopathie

De nos jours, de plus en plus de femmes désirent accoucher de façon naturelle et plusieurs de ces femmes consultent en ostéopathie afin de favoriser la préparation pour l’accouchement. La grossesse représente une étape privilégiée dans la vie d’une femme. La grossesse culmine avec l’accouchement, un phénomène de nature physiologique, nécessitant un des efforts les plus importants que puisse fournir l’organisme, et ce, afin de donner naissance au nouveau-né.

 

Il est établi dans la littérature obstétricale que les différents positionnements du bébé dans l’utérus en fin de grossesse ont une influence directe sur certains facteurs. Ces facteurs sont, par exemple, le déroulement et la longueur des différentes phases du travail, le niveau de douleur de la mère durant l’accouchement ainsi que les problématiques potentiellement retrouvées chez le nouveau-né et la mère en post-partum. Le positionnement fœtal optimal constitue un élément déterminant afin que la naissance se déroule avec le moins de traumatismes possibles pour la mère et l’enfant.

 

Même lors de présentation du sommet, soit la présentation la plus favorable et la plus fréquente du bébé, plusieurs variantes secondaires de positionnement fœtal sont susceptibles d’avoir un impact sur le déroulement de l’accouchement. Celles-ci, si non optimales, pourraient augmenter le nombre d’interventions médicales, la durée des différentes phases du travail et de l’accouchement, le niveau de douleur, le risque de déchirure du périnée ainsi que les problématiques post-partum du nouveau-né en lien avec les zones de compression ou de tension. Le positionnement fœtal optimal constitue donc un élément fondamental afin que l’accouchement et la naissance se déroulent le plus favorablement pour la mère et l’enfant.

 

Une revue de littérature, récemment publiée par Lavelle (2012), confirme que les traitements ostéopathiques durant la grossesse peuvent grandement améliorer la vie des femmes enceintes et contribuer, entre autres, à réduire la durée du travail ainsi que certaines interventions telles que l’utilisation de forceps. King, Tettambel, Lockwood, Johnson, Arsenault et Quist (2003) ont également montré dans leur étude rétrospective comparant un groupe de femmes ayant reçu des traitements ostéopathiques prénataux avec un groupe n’ayant subi aucun traitement, que l’ostéopathie avait réduit l’incidence des complications durant la grossesse, le travail et l’accouchement.

 

L’étude de la mécanique d’accouchement démontre que certains facteurs tels que des structures osseuses, musculaires, ligamentaires et même viscérales ont une influence directe sur le positionnement fœtal et la rotation du bébé durant les phases de l’accouchement. Lors d’un traitement préparatif à l’accouchement, en plus d’adopter une approche globale visant l’équilibre du corps en entier, le thérapeute vise à libérer ces structures de manière plus spécifique. Des exercices et recommandations sur les positions à éviter peuvent également être suggérés dans le but d’augmenter les chances d’obtenir un positionnement fœtal optimal lors de l’accouchement.

 

Les traitements en ostéopathie peuvent être débutés tout au  long de la grossesse  et idéalement avant celle-ci. N’hésitez pas à consulter un ostéopathe spécialisé afin d’optimiser vos chances de mieux-être pendant la grossesse et l’accouchement et pour une meilleure santé de l’enfant à sa naissance.

 

Source : http://qualita.ca/maternite-et-enfants/le-positionnement-foetal-optimal-et-losteopathie/#

ACTUALITES ET ARTICLES

 

J'ai réalisé cette rubrique afin de vous permettre de trouver des réponses plus précises aux diverses questions que vous vous posez sur l'ostéopathie et ses champs d'actions. N'hésitez pas à me formuler vos questions dans l'onglet Contact, je ne manquerai pas de vous apporter une réponse au plus vite. Vous retrouverez également les questions les plus fréquemment posées dans l'onglet FAQ.

La Course à pied:
Pour le plaisir mais sans blessures

Saviez-vous que jusqu‘à 80% des coureurs se blessent chaque année ?  Pour éviter de faire partie des blessés, sachez que votre corps s’adapte dans la mesure  où le stress mécanique qu’on lui impose ne dépasse pas sa capacité d’adaptation.  D’ailleurs, ce stress mécanique doit être appliqué de façon progressive.  Bien sûr, d’autres facteurs ont leur importance. 

 

Entre autres, si vous avez des tensions musculaires majeures ou des blocages articulaires, ceci peut être une des cause qui favorise une moins bonne adaptation du corps à la course à pied et dégénérer par la suite en blessure.  Lorsque des problèmes surviennent, n’hésitez pas à consulter un ostéopathe, il vous aidera à récupérer en dégageant vos restrictions de mobilité.  Il peut également vous guider dans le choix de certains étirements.

 

Toutefois, soyez vigilants et prévenez les blessures de surutilisation en réalisant un entrainement progressif.  Si vous dépassez votre capacité maximale d’adaptation, certains symptômes se manifesteront. Par exemple, des douleurs pendant l’activité, des douleurs après l’activité ou des raideurs matinales peuvent survenir.

Pour favoriser une bonne progression, quelques judicieux conseils peuvent être suivis par le coureur.

 

Les étirements : on s’étire, mais pas n’importe quand!  De bons étirements réguliers sont toujours efficaces et pertinents, mais à distance des entraînements.  Espacez d’environ 12 heures la course et les séances d’assouplissement (à faire avant ou après la course).   L’étirement musculaire juste avant l’activité ne diminue pas l’incidence des blessures et pourrait même  l’augmenter (augmentation du nombre de claquage musculaire).

 

Les chaussures : on court avec des chaussures minimalistes.  Les souliers plus chers, avec coussins anti-pronateurs ou autres, ne réduisent pas le nombre de blessures et ne diminuent pas le stress sur le squelette.  À l’inverse, ils peuvent changer votre biomécanique naturelle et fragiliser les tissus du pied.  Optez pour une chaussure confortable, légère, qui permet une bonne ventilation.  Vous pouvez même avoir deux paires pour alterner.

 

Les surfaces : préférez une surface de type « cross-country», ferme et irrégulière qui permet une grande variété de mouvement d’adaptation en courant.  On évite ainsi une régularité de mouvements  et possiblement la répétition de vices mécaniques.

 

La technique sécuritaire : idéalement, le pied qui se pose au sol lors de la course, devrait se déposer vers le milieu du pied et non pas sur le talon.  Un patron de course sécuritaire et efficace réduit le travail musculaire inutile et diminue la force d’impact en courant.  Soyez indulgent avec vous-même, donnez-vous du temps pour changer votre patron de course s’il n’est pas adéquat pour le moment!

 

L’endurance : augmentez votre endurance et le temps de course graduellement.  Votre corps s’adaptera mieux à de petits stress mécaniques fréquents qu’à de grands stress peu fréquents.  Visez un 10% de progression par semaine.

 

N’hésitez pas à consulter le site de « La Clinique du coureur» et à y puiser des informations complémentaires qui pourront vous guider dans la pratique de la course à pied.

 

N’oubliez pas que l’ostéopathie vise, entre autre, à favoriser l’harmonie mécanique, laquelle est nécessaire à la bonne pratique de la course. Je suis donc là pour vous afin de répondre à vos besoins.

 

Source : http://qualita.ca/exercices-et-conseils/la-course-a-pied-pour-le-plaisir-mais-sans-blessure/#

 

Pourquoi un ostéopathe pour votre bébé ?
Troubles de la fertilité : en quoi l’ostéopathie peut-elle aider ?

Vidéo de Cécile RAVIER, Ostéopathe DO, également diplômée du Collège Ostéopathique Européen. 

Cette vidéo pourra vous expliquer en quelques minutes, les indications de l'ostéopathie et le type de manipulations que je pourrai être amenée à réaliser sur votre bébé. Il me semble important de préciser à nouveau que ces manipualtions sont toujours extrêmement douces et donc en aucun cas douloureuses pour l'enfant.

 

Marie OLIVERES, Ostéopathe DO, le 15/02/15

La fécondation et la nidation peuvent être efficaces s’il n’existe aucune tension susceptible de perturber ces deux phénomènes. En clair, il faut que la mobilité et la vascularisation des organes de la reproduction soit optimum (utérus, ovaires, trompes etc…) Ces tensions, ce manque de mobilité, peuvent être dues à une chute importante (même ancienne), un accident de la voie publique, un choc traumatique émotionnel, des infections à répétition, des séquelles de chirurgies (cicatrices) etc…

Votre ostéopathe va investiguer 3 principales régions :

 

  • la région du petit bassin : le travail de cette zone va permettre d’équilibrer les tensions qui empêchent les organes génitaux d’accueillir l’œuf fécondé et permettre à l’ovulation d’être de meilleure qualité.

 

  • la région digestive : équilibrer les tensions ligamentaires des organes digestifs sus-jacents et ainsi réduire la pression consécutive sur ces fameux organes reproducteurs. Si vous préférez, on lève le pied qui appuie sur le tuyau d’arrosage !

 

  • la région crânienne : c’est à ce niveau que la régulation hormonale se fait, d’où l’importance de ne pas oublier de traiter cette zone ! Le traitement de cette région permet de favoriser une certaine sérénité de la patiente. Effet déstressant ASSURÉ !

 

Et Monsieur dans tout cela ?  

 

L’ostéopathie n’intervient pas seulement chez Madame !  Le conjoint aussi peut bénéficier d’un « rééquilibrage » général. Un travail sur la mécanique du bassin aura des répercussions au niveau testiculaire. De même, en travaillant sur la vascularisation, on agit sur la prostate (glande impliquée dans la fertilité masculine). L’ostéopathie peut donc aussi aider Monsieur dont les spermatozoïde sont un  peu “fainéants”.

 

Pour conclure !

Je précise souvent que pour favoriser la fertilité, il faut aussi savoir… lâcher prise et être patient ! Je sais aussi que c’est plus facile à dire qu’à faire, mais pourtant… Pour mettre toutes les chances de son côté, il est également utile d’adopter une bonne hygiène de vie et d’essayer de gérer au mieux votre stress et vos émotions.

 

Source : Article de Vincent Grosdemouge issu du site http://drolesdemums.com/

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